La crise du coronavirus a mis en lumière notre façon de considérer les personnes âgées. Alors même que les seniors sont encore actifs et présents dans la famille et la société, on les a déclarés – avec bienveillance certes – “à risques”. Sans prévoir que cela engendrerait chez certains, outre un sentiment d’abandon, une pénible impression d’inutilité. Regards sur le “troisième âge” avec Stéphane Adam, chargé de cours en faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’éducation. A lire aussi dans Le Quinzième Jour, le MOOK de l’ULiège